At the Gate
Maja Bajevic, Navine G. Khan-Dossos, Teresa Margolles, Olivia Plender, Artists’ Campaign to Repeal the Eighth Amendment
Maja Bajevic, Navine G. Khan-Dossos, Teresa Margolles, Olivia Plender, Artists’ Campaign to Repeal the Eighth Amendment
Marcus Jahmal est un artiste basé à New York. Ses peintures représentent des scènes et des paysages domestiques issus de la mémoire et de l'imagination. Ses images, à la fois théâtrales et intimes, ont la puissance incantatoire des arts premiers et une vive frontalité profondément contemporaine. Marcus Jahmal nous offre les vibrations d'un monde onirique, rêvé, halluciné, issu de sa ville, New York, autant que de ses racines africaines lointaines.
Vincent Malassis, en étroite collaboration avec une équipe de chercheurs du CNRS, s’approprie des paysages acoustiques marins constitués de sons, souvent inédits, émis par des homards, coquilles Saint-Jacques, langoustines, etc. Tel un scientifique, il mène des recherches expérimentales à partir de cette matière première et développe des textures sonores faisant place à des compositions et installations.
Diplômé en 2018 de l’ÉESAB - site de Quimper - les sculptures, dessins, textes et collections d’images de Maxence Chevreau sont comme des captations de formes, des focus, des détails. Chaque image, chaque chose en amène une autre. Durant sa résidence à Passerelle ( mars—mai 2019 ), il va interroger l'idée du multiple dans ses rapports à la production.
La multiplicité serait un moyen de créer de la variation et de la singularité en faisant se rencontrer différentes propositions dans une installation.
Adrián Balseca, Ismaïl Bahri, Gregory Buchert, Anne-Charlotte Finel, Anush Hamzehian et Vittorio Mortarotti, Laida Lertxundi, Marie Losier, Ariane Loze, Pinar Öğrenci, Samir Ramdani, Enrique Ramírez, Giulio Squillacciotti » EndFragment
À l’inquiétude, à la démesure, aux replis qui nous traversent, à cet âge de la terre accéléré précipité, la nouvelle exposition collective de La Criée centre d’art contemporain répond en proposant une pause, une suspension. Elle le fait avec la candeur oublieuse promise par le jour qui se lève.
Son titre, Personne, pas même la pluie, n’a de si petites mains, est le dernier vers d’un célèbre poème d’amour du poète et peintre américain e.e. cummings, écrit en 1931.
La cascadeure est une série originale en 6 épisodes créée par trois artistes.
La cascadeure est un objet visuel aux contours cinématographiques, dans lequel on y retrouve l’organisation technique de tournages de courts-métrages, bien qu’ici toute l’équipe et la plupart des comédiens soient plasticiens.
Le titre de l’exposition personnelle d’Alisson Schmitt sonne comme la marque d’un de ces tapis aux propriétés ayurvédiques qu’on trouve chez Nature & Découvertes®.
En jouant avec les méthodes et stratégies de consommation, la jeune artiste pose ainsi le décor d’une nouvelle situation au cœur de sa pratique qui, depuis plusieurs années, problématise, use et abuse des codes de ce qu’il est commun de nommer « le marché du bien-être ».
« Je n’ai jamais eu d’idées chorégraphiques mais je réfléchis en répétant. La danse est une pratique située qui permet de combiner plusieurs corps. Elle suppose des activités routinières qui amènent à se familiariser avec des matériaux, articule différentes façons de se mouvoir dans le monde et permet d’inventer des déviations, des raccourcis ou des détours. Dans le studio, le corps se plie à des exercices, incorpore des techniques, se transforme, apprend à se regarder, à fuir ou à disparaitre. »
Dans une relation ironique et critique au trait, la peinture de l’artiste roumain Razvan Boar joue des allers-retours entre une figuration pop proche du comics et une abstraction gestuelle dans la pure tradition de l’héroïsme picturale. Il voit dans le dessin et son expression la plus rapide, juste saisie, une condition préalable et sine qua non à l’émergence de l’image peinte. Et pourtant il s’arrête là.