2021

D’une rive à l’autre - Nicolas Dhervilliers

D’une rive à l’autre

Nicolas Dhervillers travaille dans le domaine de la photographie et du dessin. Il est diplômé d’un master en photographie et multimédia à l’université Paris 8. Le Fonds municipal d’art contemporain de la Ville de Paris l’acquiert et l’expose à la Fiac, en 2012. ll est invité dans de nombreux pays à exposer son travail : Suisse, Allemagne, Corée, Chine, Pays-Bas, USA, Grande-Bretagne, Australie et Belgique.

Il est représenté par trois galeries en France : Dilecta, School Gallery et Provost-Hacker.


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Le théâtre comme utopie est le thème d’entrée général dans l’exposition. Sous celui-ci, et à travers un environnement constitué de peintures murales et de peintures sur toiles, sont abordées les questions liées à l’histoire de la représentation et à ses codifications, à la conquête d’espaces non habités par l’homme, aux frontières entre art, design et artisanat.


Le Jardin des allégories

L’artiste italienne Beatrice Celli (diplômée en 2019 de la Villa Arson) transfigure le Passage des Fougères en lieu de rêve et d’imaginaire collectif inspiré par l’Histoire du jardin ; paysage de symboles qui intègrent, par une pratique artisanale et de récupération, classicisme et folklore. Ce jardin métaphorique est imaginé comme un passage initiatique, jonché d’un memento mori en forme de guirlande, une fontaine décorée d’un bestiaire fantastique et un pavillon conçu comme un confessionnal cosmique.


Construire sa prétendue

« Pour la première fois, la Villa Arson accueille ses diplômé.e.s (de septembre 2020) dans ses espaces d’exposition.
Malgré les difficultés liées à la crise sanitaire, nous avons tout engagé pour leur offrir des meilleures conditions de travail afin de mieux préparer leur avenir.


36e festival international de mode, de photographie, et d’accessoires de mode - Hyères

La 36e édition du Festival international de mode, de photographie et d’accessoires de mode, Hyères se tiendra du jeudi 14 au dimanche 17 octobre 2021 à la villa Noailles.
Les expositions seront ouvertes au public jusqu’à fin janvier 2022.
Le festival est fondé et dirigé par Jean-Pierre Blanc, et présidé par Pascale Mussard.


Les tissus d’Hélène Henry

Dans le cadre de l’exposition Charles et Marie-Laure de Noailles, une vie de mécènes
Scénographie de Mathieu Peyroulet Ghilini
Photographies de Pierre Antoine

 

 


Soleil tournant - DUO -Y-, CHRISTOPHE CLOTTES ET LÚCIA LEISTNER

Soleil tournant est un programme de découvertes proposées en septembre comme un écho au changement de lumière qui accompagne la transition de l'été vers l'automne. Pour cette édition, nous accueillons deux duos à présenter leur projet pour la première fois. Bien que très différents, leurs univers trouveront des correspondances, notamment dans leur manière de convoquer des figures marquantes du territoire, mais aussi de nous associer à une expérience collective et singulière qui vient renouveler la nature et l’usage de l’espace d’exposition.


Les Résistantes

Aujourd’hui, institutions internationales et galeries programment de plus en plus d’artistes femmes, pourtant ces dernières ont longtemps souffert d’invisibilité : l’histoire de l’art est à réécrire.

Longtemps exclues de l’apprentissage et de la pratique des arts et soumises aux critiques d’art qui reléguaient les artistes femmes au second plan, car celles-ci traitaient de sujets dits « féminins », l’engagement à affronter l’invisibilité dont elles souffrent en tant que créatrices n’en est pas moins pertinent aujourd’hui.


Poussière & Paillette - Nicolas Rabant

Né à Paris en 1988, Nicolas Rabant, diplômé de l’EESAB de Brest, rejoue les classiques de la peinture de paysage. Sont passés en revue des genres iconiques comme la peinture sur le motif, le paysage de bords de mer ou de montagne, l’abstraction, la copie du même motif répété à l’infini, le repeint ou les faux partiels, l’image des animaux de compagnie tout comme les langoustines, les nébuleuses ou les couchers de soleil. Les environnements qu’il propose se développent à partir d’histoires, d’images personnelles, de situations et d’envies de travailler avec d’autres.


The Grasshopper's Ball - Hilary Galbreaith

Plutôt que de transformer l’écologie en sujet artistique, il faudrait commencer par l’appliquer à l’échelle des modes de production, du transport et du stockage des oeuvres. Cette économie de moyens établit la condition esthétique do-it-yourself du travail de Hilary Galbreaith, proche du cinéma primitif et du fanzine. Issue d’une famille californienne de militaires passionnés de science et de technologie, elle s’intéresse à la capacité de la science-fiction à construire des hypothèses qui transforment notre rapport aux espèces, au non humain, au corps ou au langage.


Les Expositions du moment