Final d’Altérisme
Hélène Bertin, Céline, Drouin-Laroche, Julie Grosche et Florian Sumi, Clémence de Mongolfier, Marlies Pöschl, Marie Preston
Hélène Bertin, Céline, Drouin-Laroche, Julie Grosche et Florian Sumi, Clémence de Mongolfier, Marlies Pöschl, Marie Preston
Sur une proposition de la curatrice Barbara Sirieix, cette exposition est la première présentation du travail d’Anu Põder ( 1947-2013 ) en France. La pratique sculpturale et les installations de cette artiste estonienne se sont développées autour de l’univers familial et des émotions du quotidien dans un contexte marqué par les normes et les tabous de l’ère soviétique : les conflits intérieurs et domestiques répondent aux conventions sociales et architecturales, dans une continuité entre corps physique et social.
Un hommage à Marie Vassilieff sous la forme d'une exposition en deux parties :
A la Fondation des Artistes - Nogent-sur-Marne (MABA, Maison nationale des Artistes, Bibliothèque Smith-Lesouëf) :
Mercedes Azpilicueta, Carlotta Bailly-Borg , Yto Barrada, Michel François, Christian Hidaka, Laura Lamiel, Mohamed Larbi Rahhali, Anne Le Troter, Flora Moscovici, Émilie Notéris, Thu-Van Tran, Marie Vassilieff
A la Villa Vassilieff - Paris : Liv Schulman
Création d'un lieu d'exposition-relai à la Maison de Quartier des Courtilières à Pantin où sont présentées un ensemble d'oeuvres de la collection Multiple du Cneal, sélectionnées par une artiste du territoire, Theodora Barat, en assurant la direction artisitque du projet autour des notions de communauté et de développement urbain.
Jean-Charles de Quillacq (1979, France) met en scène un corps pluriel, soumis à un environnement qui en contraint les positions et les interactions, objets de fantasmes et de représentations multiples. Dans Ma système reproductive, il démembre recompose et multiplie les corps dans leurs dimensions physique et mentale pour, sans relâche, tâcher de se les approprier. A travers des sculptures tubulaires, des installations érotiques et des performances intimes, l'artiste expose un rapport ambigu au monde et à soi.
Le titre de cette exposition, impossible à retenir, prend pour point de départ un rêve de l'artiste autrichienne Barbara Breitenfellner : Rêve : Les éléments n'ont pas encore trouvé leur matérialité (collage ? photographie ? peinture ?). Tout est triplé. Pas vraiment claircomment les oeuvres vont passer du virtuel au réel, surtout pour le glitch et la propriété artistique. - Puis un film. Un paysage enneigé. Nous marchons dans la (tempête) neige. Une fille s'allonge et sa tresse lui rentre dans le dos (transformé numériquement). Puis le dos se désagrège.
24 heures à Hanoï est le titre de l'exposition, c'est aussi le titre d'un film qui transforme une expérience personnelle.
En 2017, Thu-Van Tran effectue un séjour de 24 jeures à Hanoï : "A midi le taxi me dépose à mon hôtel, le lendemain à la même heure ce taxi revient me chercher pour l'aéroport." Le film de 24 minutes raconte cette journée initiatique qui s'est jouée le temps d'une révolution complète : 24 heures.
L’expression « briser le 4e mur » fait référence à un procédé utilisé au théâtre et au cinéma qui consiste à s’adresser directement au public, soit par la parole directe, soit par le biais de la caméra. À la lisière entre art et spectacle, cette exposition collective tente de comprendre comment et pourquoi un artiste choisit de s’approprier les codes de représentation du théâtre et du spectacle vivant.
Avec Cécile Bicler, Éléonore Cheneau, Arnaud Cousin, Viktorie Langer, Colombe Marcasiano, Laura Porter, Benjamin Swaim, Céline Vaché-Olivieri, Carrie Yamaoka, Virginie Yassef et des artistes anonymes (liste susceptible d’évoluer au cours de l’exposition).
La poésie phonétique puis sonore a toujours représenté dans le XXe siècle un acte d’émancipation. Quitte à abandonner parfois la sémantique, les avant-gardes en ont fait le fer de lance de leur lutte contre les systèmes, les croyances et les dogmes. Que reste-t-il aujourd’hui de ces luttes héroïques ? Des mythes et des légendes. Mais les temps ont changé, les combats aussi. Les utopies n’ont plus le même visage.